1. Départ pour Osaka…
- jean-claudedunyach
- 25 sept.
- 2 min de lecture
Que serait un départ en vacances sans les moments de panique intense que nous offre la réalité du transport aérien ? Je vous la fait courte : l’avion au départ de Toulouse arrive à Roissy avec quasiment une heure de retard, donc on sprinte d’un terminal à l’autre, en passant par les axes prioritaires du contrôle des passeports et en évitant, Dieu sait comment, les vérifications de sécurité. La porte d’embarquement pour Osaka étant bien sûr située à l’autre bout de la zone que nous parcourons au pas de course. Tout ça pour arriver une minute AVANT la fermeture de l’embarquement. Juste à temps, comme nous le confie en souriant l’hôtesse qui s’inquiète de nous voir si essoufflés.
J’écris donc ce billet depuis le siège que nous avions réservé, à côté de Régine qui écoute au casque une sélection de musiques relaxantes… L’avion, un Boeing 787, est quasiment plein, flambant neuf, et les annonces de l’équipage s’obstinent à interrompre toutes les minutes le dernier Mission Impossible. Cela dit, Tom Cruise a l’air de s’en moquer, donc je suppose qu’il gagnera à la fin. Je lui fais confiance.
Le seul bon point de cette histoire est que nous savons maintenant que nous sommes dans une forme suffisante pour courir un marathon de 20 minutes. Je pense que ça nous sera utile lors d’un prochain voyage…
Le reste du voyage se passe sans histoire (il n’y en a même pas dans Mission Impossible). Un repas classique, mais avec une bonne soupe miso en prime. L’écran de Régine se bloque – réparé en 5 mn. On essaie de dormir, avec de la mélatonine, et on parvient à somnoler.
Arrivé à l’aéroport, l’efficacité japonaise s’exprime à plein. C’est impressionnant. On se pose à 9h35, heure locale, et on ressort à 10h15 en ayant récupéré les bagages, franchi la sécurité et la douane, et acheté une carte sim japonaise qu’une ravissante jeune fille a installée dans mon téléphone. Aucune attente nulle part, beaucoup de sourires et de courbettes.
Ledit aéroport est loin du centre et le taxi nous coûte cher, mais il nous a fait longer la mer et l’immense zone portuaire ! Puis l’hôtel, qu’on connaissait déjà et qui nous garde les bagages, un petit restaurant dans les zones avoisinantes et retour dans une chambre minuscule, mais confortable.

Je n’ai pas le courage de poster d’autres photos, il faudra attendre qu’on ait dormi !




j'ai "couru" pareil pour attraper le vol pour Edimbourg, et en plus les tapis roulants étaient en panne!!!😀bisous à vous deux