36. Départ d’Okayama pour Tokyo
- jean-claudedunyach
- 28 oct.
- 2 min de lecture
Ce sera la dernière étape de notre voyage. D’un seul coup, grâce à la magie des trains ultra-rapides, nous allons quitter les villes traditionnelles du Japon, sans trop de touristes, pour nous installer au cœur d’une des plus grandes cités du monde, cosmopolite, agitée, bruyante et pleine de vie. Ça veut dire beaucoup de métro, sans doute des excursions d’une journée vers les villes voisines, des musées et des temples blindés de visiteurs… Sans doute aussi des quartiers commerciaux, du shopping dans nos endroits favoris (on a des cadeaux à rapporter). Bref, une forme d’agitation à laquelle nous ne sommes pas préparés.
Mais d’abord il faut trouver nos places à bord du train qui est complet (on ne sera pas dans le même wagon, donc Régine se demande si on réussira à se retrouver à la sortie – personnellement, j’avais confiance).
Je casse le suspense… On ne s’est pas perdus dans la gare, par contre on a eu un peu de mal à prendre le métro jusqu’à l’hôtel. Les tickets sont uniquement valables sur la ligne correspondant au distributeur où on les achète, donc on a erré dans une station avec nos grosses valises en cherchant à prendre la ligne « A » avec des tickets de la ligne « B ». Qu’on a fini par emprunter, en désespoir de cause. Elle nous a lâché un peu plus loin de l’hôtel que l’autre, mais c’était gérable.
La chambre est minuscule, le lit est coincé entre deux murs, se lever la nuit sans réveiller l’autre sera impossible. On verra bien. On range et on ressort pour dîner, des sushis, si possible, pour ne pas trop se charger l’estomac.
Les lumières nocturnes et les enseignes sont toujours spectaculaires.

On est dans une zone très commerciale, donc on tombe rapidement sur un entrelacs de galeries marchandes remplies de restaurants. Celui qu’on choisit nous sert des sashimis, des sushis et des concombres marinés, avec une boisson aux algues pour moi (l’aspect était boueux, mais le goût appréciable). On savoure chaque bouchée et on ressort sans avoir faim, mais pas lestés.
On flâne un peu, puis on rentre à cause du froid.
Demain, pic de froidure annoncé, 15° l’après-midi. Ça se réchauffe après, mais on a sorti les petites laines. Quand je pense qu’à notre arrivée à Osaka il faisait plus de 30°…


























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